« Tout être est une île, au sens le plus réel du mot, et il ne peut construire un pont pour communiquer avec d’autres îles que s’il est prêt à être lui-même et s’il lui est permis de l’être »
Carl Rogers
Au moment de la séparation du couple, chacun traverse une phase émotionnelle et parentale difficile à gérer où la colère, le chagrin, le ressentiment se mêlent à la peur du lendemain. La communication est souvent rompue. Prendre ensemble dans ces conditions des décisions constructives pour organiser tant la gestion quotidienne du ménage ou des enfants que le futur devient alors très compliqué et engendre des frustrations. La tentation est souvent grande de s’engager dans une procédure judiciaire contentieuse en espérant que le juge réparera, voire punira l’autre conjoint à la hauteur de la douleur causée par cette épreuve. Mais tel n’est pas le rôle du juge qui doit statuer en droit sur la base des éléments de preuve qui lui sont fournis par les parties. Cela n’est pas plus sans conséquence sur l’entourage proche qui peut se retrouver divisé, voire pris à partie, quand le conflit conjugal ne conduit pas à une fracture définitive avec la famille par alliance.
En conséquence, les « gagnants » sont parfois très insatisfaits de la décision rendue, sans parler des « perdants » dont on peut s’assurer qu’ils ne le sont pas non plus, considérant chacun qu’ils n’ont pas été compris par le juge qui a été soit trop sévère soit pas assez.
Dans ces conditions, et contrairement à l’attente d’au moins un des conjoints, la séparation n’apporte pas le mieux être émotionnel escompté.
Au contraire, pour les parties engagées dans un conflit, il peut être utile d’échapper « aux risques judiciaires » et de souhaiter garder la maîtrise de sa vie privée.
Les modes amiables sont particulièrement adaptés au contentieux familial, tant l’écoute et la communication apparaissent importants aussi bien pour arriver à traverser et surmonter l’épreuve douloureuse que constituent une séparation ou un deuil, que pour protéger et préserver l’intérêt des enfants.
Les modes de règlements amiables sont variés, ainsi à des litiges côté de la négociation, de la transaction et l’arbitrage, d’autres modes amiables se sont développés ces dernières années :
Le Cabinet CLF AVOCATS s’efforce toujours, avec l’accord du client et à chaque fois que cela est possible, d’envisager avec l’autre partie dès l’ouverture du dossier, une solution amiable et négociée permettant de satisfaire au mieux les besoins du client.
Le travail se fera en équipe, vous y serez pleinement associé. Votre dossier aura probablement besoin d’être complété par la suite par des pièces complémentaires, nous aurons peut-être besoin de précisions ou d’informations que vous seul détenez.
Nous soumettrons à votre approbation, les projets d’acte de procédure que nous aurons préparés au soutien de vos intérêts (lettre de mise en demeure, requêtes, assignations, conclusions…), afin que vous puissiez nous faire part de vos observations ou solliciter des modifications avant envoi.
Nous vous tiendrons informé de l’état des éventuelles négociations en cours et plus généralement de l’évolution de votre dossier à chaque fois que nous aurons reçu des informations à vous communiquer.
Vous pourrez nous joindre par téléphone ou par courriel en cas de besoin. Compte tenu des moyens d’instantanéité, les demandes adressées par courriel seront traitées en fonction de leur caractère d’urgence, étant précisé que nous nous efforçons de vous répondre sous 48h.
Pour les avocats du cabinet CLF AVOCATS, chaque client est unique et doit être traité comme tel.
Nous confier votre dossier, c’est vous assurer un accompagnement personnalisé à la mesure de vos besoins.
Nous vous remercions par avance de votre confiance.
HonorairesCorinne Le Foulgoc-Delmouly & Nancy Fauchart
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